Grâce au contexte électoral (je blague)
Que tou.te.s celleux qui sont blasé.es par les élections tapent dans les mains! Non je blague, on risque d’avoir les tympans éclatés avant les paumes des mains. Et faut qu’on garde les deux pour la suite, ça sert toujours. Je ne sais pas vous, mais je n’ai rencontré aucune personne qui soit pleinement satisfaite des élections. J’ai rencontré un bataillon de gens allant de complètement cuits à vaguement blasés. Tout un autre allant de motivés à hyper actifs. Mais pas un seul enthousiaste qui traîne.
Comme personne ne dit plus mais qui est tout à fait à propos: ça craint du boudin. Et si vous comptiez sur moi pour relever le niveau, je vais vous décevoir. Je ne sais même pas exactement où je me trouve dans le spectre de la blasitude. Ce que je sais, c’est que je dois continuer à nourrir l’espoir et à rêver, même si c’est difficile.
Si ce n’est pas de Manu ou Marine que mes rêves vont émaner, alors il a falloir aller les défricher par moi-même, les nourrir, les embellir et en prendre soin. En toute honnêteté, je n’ai jamais vécu à une époque où la politique m’ait fait rêver. L’élection d’Obama avait vaguement déclenché un peu plus d’espoir que le reste, mais pour ce qui est de vraiment rêver, mes terrains fertiles ont toujours été :
Être au sein de communautés inspirantes, avoir de quoi prendre soin de mon cœur pour l’écouter de nouveau, avoir du temps et ne pas être prise à la gorge par mon agenda.
Et si tout à fait par hasard vous ne pouvez pas me rejoindre à Burning Man cet été, un autre endroit qui réunit tous ces ingrédients est la retraite Qoya – Le Bûcher sur le thème « Rêver Radical ». Venez danser, vous reposer, explorer en rituels et en rigolade, et ça, ça promet d’être le fun.